Otez les masques!

Tyrion entra dans le boudoir avec Koraï , il retira son masque puis il alla ouvrir la fenêtre car il faisait chaud dans le boudoir .

Il la prit dans ces bras lui faisant un tendre et doux câlin et il siffla plusieurs fois , son aigle entra alors dans la salle avec un énorme sac et tournoyant autour du couple enlacé il en versa la contenu , des milliers de pétales de cerisiers tombèrent sur le couple .

Et dans un divin sourire , il lui murmura quatre mots , quatre mots le trouble d'une vie qu'aussitôt il n'oublira jamais "veux-tu m'épouser ?" , il lui montra aussi un anneau incrusté de pierre précieuse , la bague avait toutes les couleurs de l'arc-en-ciel elle était aussi belle que sa femme , puis il attendit sa réponse pendant que l'idée de l'embrassait lui brulé les lèvres .

Messages : 88 Date d'inscription : 08/02/2008 Localisation : Saint-Aignan

La matinée avait été rapide !

Tyrion l'avait emmenée dadns le boudoir, enlevé son masque et ouvert la fenêtre.

La jeune femme le regarda avec étonnement.Il semblait non pas pressé, mais plutôt nerveux.

Soudain, il la prit dans ses bras comme il sait si bien le faire.Il siffla.L'aigle qu'elle connaissait bien arriva et versa sur eux mille pétales de fleurs.Comme c'était joli !

Son petit ami la regarda, lui sourit et s'approcha vers son oreille pour y faire retentir 4 mots :

"Veux-tu m'épouser ?"Une superbe bague apparu, scintillante comme l'arc en ciel.

Elle le regarda, puis baissa la tête.

Elle la releva, le regarda et sourit.Elle l'embrassa doucement, et lui dit un simple mot : "Oui..."

Il avait le coeur qui battait à vive allure , il ne pensait plus à rien il attendait juste un mot et quand elle dit " oui " la flamme de son amour pour elle qui brulait déjàs énormément se transforma en incendie que rien ne pourrais éteindre , puis il l'embrassa heureux pour la vie

Messages : 9 Date d'inscription : 12/02/2008

Pouit' arriva un peu après les faits, mais tout était déjà fini.

Il était déçu, il aurait bien fait une blague pour l'occasion !!

Et lui aussi, il fallait qu'il s'y mette, tout de même !

Il se mit donc en quête d'une jolie louve à qui parler...

Messages : 29 Date d'inscription : 26/01/2008 Localisation : Saint-Aignan

Tout tourne autour de lui, les bruits, les lumières et lui qui s'avance... Il voit son visage, ses yeux si particuliers, s'approcher de lui. Des voix, des mains qui se portent à son masque. C'est fini, on va le démasquer. Il n'en a cure. Mieux encore, il attend ça depuis des heures. Pouvoir reprendre sa canne. Pouvoir laisser parler son coeur.
Il laisse glisser sa main jusqu'au sommet de son crâne, tire sur la perruque qui vient sans difficulté, libérant l'onde noire de ses cheveux longs et dévoilant le médaillon qui orne son front. De la paume de sa main, elle efface la poudre de riz qui camoufle la cicatrice de sa bouche.
"C'est moi. Aldara" dit-elle dans un souffle, avant de fermer les yeux sur les lumières qui dansent autour d'elle.

Messages : 8 Date d'inscription : 12/02/2008 Localisation : Saint-Aignan

Crategos en resta médusé, cette onde noire, ce visage, ce cou qui lui avait tant manqué, dont il avait tant rêvé. On lui avait bien dit que c'était elle, mais le choc n'en fut pas moindre. Il prit le corps dans ses bras afin qu'elle ne tombe de la chaise, ils avaient été séparés si longtemps qu'il avait du mal encore à réaliser.

Aldara avait fait apparemment de lourds efforts cette soirée, ses traits en étaient marqués. Il lui caressa les cheveux doucement et apporta le verre aux lèvres de la dame. Humidifiant un bout de sa manche avec l'eau, Crategos la passa sur le visage d'Aldara. Rien n'y fit! Il tenta de lui faire boire une gorgé, en vain.

Crategos releva la tête un instant et fit un tour sur lui-même, le boudoir...L'homme sourit légèrement. Mais bien sur! Comment n'y avait-il pas songé plus tôt? Un endroit calme, se prêtant à merveille aux plus vives émotions, assurément Crategos devait se servir de la magie de ce lieu. Cette dernière serait peut-être plus forte, efficace qu'un grand verre d'eau glacée en plein visage. Il approcha donc ses lèvres de celles d'Aldara et les fusionna amoureusement. Il fichait sûrement toute la tradition en l'air mais c'était un cas de force majeur tout le monde l'aura compris.Il la serra tout contre lui, il attendait le miracle, il attendait de pouvoir admirer ses deux petites perles qui le faisaient tant frémir. Il lui murmura à l'oreille quelques mots d'amour si mièvres mais tellement vrais : " Je suis désolé, inflige-moi ce que tu voudras mais pas ta perte, je t'en supplie, je te norfe. "

Messages : 29 Date d'inscription : 26/01/2008 Localisation : Saint-Aignan

Elle est la Belle au Bois Dormant que le Prince réveille, après avoir bravé ronces et dragon. De la nuit noire dans laquelle elle a sombré, elle entend un battement de coeur, plus rapide que le sien, proche, si proche de sa poitrine. Elle cligne des yeux, tout est flou, les lumières apparaissent peu à peu. Mais son nez n'est jamais en sommeil. Ce parfum si particulier, mélange de cendres et de sang, chaud et hypnotisant, que d'aucun trouverait sans doute repoussant car dangereux. Cette senteur de passion qui effleure ses narines la réveille tout à fait, alors que de chaudes larmes roulent sur ses joues, traçant de larges lignes sur son visage poudré.
"Crategos... Je t'aime. Envers et contre tout. Envers et contre tous. Mais nous devons cesser de nous déchirer ainsi. Nous allons finir par nous tuer... Je... Je suis encore sous le coup de ton... ta... enfin, l'estrade... Je ne pensais pas que tu avais si bonne mémoire... Ni que... enfin... je croyais que... tu ne m'aimais plus..."
Elle essuie ses larmes, saccageant définitivement son maquillage. Elle lève les yeux vers lui, peine encore à croire qu'il est là, le visage inquiet au dessus d'elle, les yeux débordants de... "norfitude"

Messages : 8 Date d'inscription : 12/02/2008 Localisation : Saint-Aignan

Crategos hésitait tellement : lui dire, ne pas lui dire, franchir le pas, ne rien faire, que devait-il faire ? Il regardait Aldara, là devant lui, plus belle que jamais. Il essuya de ses doigts les petites cascades perler le long des joues de sa bien-aimée et l’embrassa à nouveau. Il était tirailler, oui ou non, il ne savait pas ce qu’était le mieux. Oh et puis zut, le pire dans ces moments-là est de réfléchir !

Crategos prit une longue inspiration, fit un pas en arrière et s’agenouilla. Il releva la tête pour se plonger dans le regard d’Aldara.

Comment te dire ce que les mots ne peuvent, comment te faire comprendre des sentiments dont la nature même est galvaudée par ce que l’on pense connaître, comment te montrer ce que l’on ne peut voir et enfin, comment te faire ressentir ce que j’éprouve pour toi ?

De sa main, il fouilla sa poche, saisit l’objet de toutes ses hésitations et le sortit pour le présenter aux yeux de la dame. Il ouvrit doucement la petite boîte et le contenu s’en révéla. Un petit anneau rond en or sur lequel étaient gravées des lettres de feu scintillantes. Cet anneau avait la lourde tâche de représenter toutes les pensées de Crategos portant sur la dame cher à son cœur que même ses rêves n’arrivent à concevoir. Les lettres exprimaient : à toi, à jamais.

Crategos était parcouru de frissons, de craintes, d’excitation…

Aldara, as-tu le courage de me supporter, l’envie que l’on brûle de consort, l’envie et le privilège de vieillir côte à côte, l’envie de faire jalouse les Royaumes entiers de notre amour ?

Crategos sourit.

Comme la phrase de circonstance le dit, Aldara, veux-tu m’épouser ?

Messages : 29 Date d'inscription : 26/01/2008 Localisation : Saint-Aignan

Plus il essuie ses larmes et plus elle pleure. Elle a l'impression que ses yeux ne se tariront pas. Elle le regarde, puis l'anneau, puis lui à nouveau, cherche dans ses yeux la cruauté d'il y a quelques jours.
"Serons-nous assez tendres pour nous aimer si long? Nostre nature ne reprendra-t-elle pas le dessus? Sais-tu vraiment à quoi tu t'engages?..."

Elle a des milliers d'autres questions en tête, mais préfère se taire et pour toute réponse, l'embrasse à perdre haleine.

Messages : 23 Date d'inscription : 29/01/2008

De retour sur la terre ferme, le cœur encore à la dérive, elle se dit qu’il est temps de partir, quitter son premier bal et son cavalier d’un soir, pensive, elle refait le chemin inverse afin de garder cet événement au plus profond de son âme.

L’inauguration généreuse de l’intérieur du carrosse qu’elle a pu faire pendant ce périple initiatique, pas très glorieux mais très hilarant.

La culbute malencontreuse du chandelier, puis, le feu grignotant les peaux de bêtes…Elle sourit en revoyant Bionic attiser les flammes avec son Calva qui par ailleurs réveillerai aussi un mort…Elle a encore le goût en bouche malgré tout c’est pour dire…

La bête qui rugissait, ou l’art de ronfler avec discrétion...

Sa danse en solitaire, le heurt avec le poteau puis le semblant de récupération sur la nappe, ou plus précisément, la baffe à un convive et l’arrachage de costume d’un autre, la main tendue, la rencontre de ce complice charmant, mais aussi…

Son changement de costume assez laborieux depuis l’arrière des rideaux.
Et oui car elle était venu aussi avec un autre costume. Dans la tenture roulée de la grande salle, le tricorne, le masque doré et les vêtements sombres de Tao l’attendent...

Amaryllis, ce nom lui collait comme un gant, sa floraison est spectaculaire…L’art de se faufiler en finesse, de la nuance et de la tenue dans ses gestes !!!!
Non ? Ah bon !?

Elle fait voler son éventail en l’air, se démaquille d’un revers de manche et sourit

Et oui c’est moi !!! Lonie de Saint Aignan.
Merci à toi Bionic pour ta complicité, tu as fait de ce bal un enchantement.